CIE ADES

REVERS

« comme si la raison n’était que le masque rituel du danseur en transes. Le masque, dont les traits sont signes conventionnels, rassure. Mais derrière le masque, c’est le visage ravagé du danseur, et son souffle haletant et la transe que perçoit sourdement le spectateur, qui accomplissent l’exorcisme. L’avocat à ce moment suprême est un sorcier. » (Robert Badinter)