NOVEMBRE

Marion Zurbach

Je mène depuis plusieurs années une réflexion sur mon passé de danseuse classique et le lien intime que j’ai entretenu avec cette profession. Avec la performance « Gi_selle » , j’explore les archétypes du ballet, en repensant le récit tragique de cette oeuvre célèbre du 19ème siècle. Je me penche en particulier sur le personnage de Giselle, cette innocente victime née d’une vision profondément machiste de la femme et proposant un modèle de soumission empreint de romantisme.

« C’est beau comme le crime parfait, celui qui s’opère dans les récits et s’introduit dans les esprits. »